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Nos arrière-grand-mères étaient plus écolos que nous : Le retour aux bonnes pratiques écoresponsables

Grande tablée à la ferme dans les années 40

Quand j’étais petit, j’ai passé beaucoup de temps chez ma grand-mère en Meuse. J’ai adoré l’observer, passer du temps avec elle et apprendre de ses histoires. Ces moments m’ont permis de comprendre l’importance de vivre de manière simple et écoresponsable, un adjectif qui n’existait pas encore, mais qui correspondait bien déjà à un ensemble de bonnes pratiques que nous pouvons aujourd’hui utiliser pour préserver notre planète. En devenant adulte, je n’ai jamais vraiment coupé ce fil invisible qui me ramène à elle dans mes souvenirs, mais également aux moments partagés avec mon autre grand-mère Maminie et mon arrière-grand-mère landaise : mamie Margot.

Une vie plus simple et écoresponsable : L’impact des habitudes des grands-mères sur notre époque

Il me semble que tout était plus simple avant l’arrivée des options modernes. Chaque objet avait une vraie valeur, et la consommation était bien plus raisonnée. Je me souviens du lit fait avec des draps en flanelle, tout doux l’hiver, confectionnés dans les Vosges et d’une couverture ou un édredon de style boutis provençal. Les couettes étaient à peine nées, et les housses de couettes n’existaient même pas. Aujourd’hui, je garde encore de grands draps blancs en coton épais, magnifiques, brodés des initiales de mes arrière-grands-parents : les draps d’une vie !


Une alimentation locale et moins polluante : Le modèle de nos grands-mères

Les supermarchés n’existaient pas ou très peu, et ma grand-mère allait au marché une fois par semaine et chez le boucher, revenait avec de la viande emballée dans du papier, non dans des barquettes en plastique. Chez ses parents, à la ferme, la viande était un produit de consommation raisonnée. Un cochon était nourri avec tous les restes de légumes, et l’animal était utilisé pour produire des saucisses, de la charcuterie, des pâtés pour des mois. La consommation de viande était plus modérée qu’aujourd’hui, réservée aux événements et aux fêtes. On prélevait dans le poulailler ou le clapier avec parcimonie.


Pourquoi cela a-t-il du sens aujourd’hui ?

Réduire notre consommation de viande présente des avantages majeurs :

  • Un excès de viande rouge nuit à la santé.
  • Les élevages intensifs infligent souffrance et maltraitance animale.
  • L’Amazonie est déforestée pour produire du soja destiné à l’élevage intensif.
  • L’élevage contribue à 16 % des émissions mondiales de méthane (CH4).
  • Les vaches émettent autant de gaz à effet de serre qu’une voiture parcourant 20 000 km.
  • Les transports internationaux d’animaux sont une véritable souffrance.

Moins de viande signifie plus de sens pour la planète.


Des produits locaux de saison : Consommer responsable

Les jours normaux, on mangeait de la soupe le soir, faite avec des légumes du potager, cultivés sans pesticides. On ne pouvait donc faire plus local, plus sain, plus naturel. L’agriculture était encore une activité commune, et ces personnes suivaient les cycles de la nature. Aujourd’hui, nous ne savons même plus exactement quelle saison convient à chaque fruit ou légume, tellement nous sommes déconnectés de la biodiversité et de la nature.




S’habiller de manière durable : L’art des achats raisonnés

Au cours des Trente Glorieuses, les dépenses vestimentaires étaient encore raisonnées et commençaient juste à devenir une source de plaisir. On achetait pour plusieurs saisons des vêtements de qualité fabriqués en France. Les habits avaient une valeur : on y faisait attention. Bien que la mondialisation, à partir des années 70, ait introduit plus de flexibilité et de fun dans la mode, elle a aussi conduit à une surconsommation textile et à la mode jetable, qui polluent la planète aujourd’hui.


L’impact écologique de la mode rapide : Pourquoi acheter moins, mais mieux ?

L’industrie textile représente la quatrième source de pollution mondiale en raison de l’énergie nécessaire à la production, au tissage, à la teinture et à la confection des vêtements.

  • Une grande partie de la production textile est effectuée en Asie, créant une pollution liée au transport maritime.
  • Les prix bas cachent une réalité de travail précaire : des millions de travailleurs sous-payés et exploités en Asie.
  • Aujourd’hui, des marques comme Mangrose privilégient la production locale en Europe, et nous permettent d’adopter des pratiques de consommation plus responsables.


Une mode circulaire : Récupérer et transformer, un héritage à préserver

Raccommoder, recoudre, transformer ! Nos grands-mères savaient le faire. Par exemple, après la guerre, ma grand-mère s’est mariée en manteau retourné, faute de moyens. Ce type de réutilisation était courant à l’époque. Cette démarche préfigure ce que l’on appelle aujourd’hui la mode circulaire, où on répare, on récupère, et on donne une seconde vie aux vêtements. La seconde main, contrairement à ce qu’on pourrait penser, était plus présente qu’on ne le croit.



Le DIY (Do It Yourself) : Le « Faites-le vous-même » est plus pertinent que jamais

Le DIY existait bien sûr déjà : on tricotait, on cousait, on réparait. En cuisine, on faisait des gâteaux, des tartes, des confitures, et on cuisinait des plâts maison. On achetait peu de produits transformés, plus nocifs pour la santé, avec des sucres, graisses cachées et conservateurs. Nos grands-mères savaient ainsi gérer leur alimentation de manière plus responsable et respectueuse de l’environnement.


Le mobilier durable : Préserver des pièces de qualité

Lorsqu’il s’agissait de s’installer, on choisissait des meubles un peu pour la vie, ce qui avec le regard d’aujourd’hui n’est plus réellement envisageable. On pouvait hériter de meubles qu’on conservait dans la famille. Ils étaient faits de bois massif, par des artisans locaux, et traversaient les décennies. Aujourd’hui, l’explosion des meubles bon marché et des renouvellements incessants de collections nous ont fait entrer dans l’ère de l’ultra fast déco ». Nos grands-mères se contentaient, elles, de l’essentiel : une belle nappe et un bouquet de fleurs du jardin.



Des produits de beauté essentiels et naturels

Côté soins corporels, le modèle était également plus simple et respectueux de l’environnement. Peu de marques de cosmétiques existaient dans les années 70, et on utilisait des savons en pain, bien plus durables et économiques. Puis sont arrivés sur le marché de nombreux gels douche, eux, sont souvent remplis d’eau dans des emballages plastiques tous plus séduisants les uns que les autres. Heureusement, aujourd’hui, des alternatives naturelles, comme le savon solide ou le shampoing sans plastique, reviennent en force.


Une télécommunication rapide, mais à quel prix ?

Un secteur que nos grands-mères n’ont pas connu est celui de la téléphonie mobile et des renouvellements fréquents d’appareils. Les smartphones, tout comme les réseaux sociaux, nous connectent à une vitesse vertigineuse, mais paradoxalement, ils nous isolent aussi. Ma grand-mère, elle, nous forçait à sortir, à marcher pour aller voir ses amies, prendre un café et discuter en tête-à-tête après avoir pris un bon bol d’air. Le contact humain et la connexion réelle sont essentiels, et la technologie ne devrait pas remplacer ces moments de partage.


Le progrès de l’électroménager et sa face cachée

Les Trente Glorieuses ont vu le développement de l’électroménager, une révolution dans nos vies quotidiennes, mais avec une face cachée : la pollution. Nos grands-mères n’ont pas connu les consommations massives d’énergie et les technologies ultrapolluantes de l’ère numérique. Les machines à laver et autres appareils électroménagers sont aujourd’hui indispensables, mais ils contribuent également à l’empreinte écologique.


Le retour aux pratiques des grands-mères pour un avenir durable

Oui, nos grands-mères étaient plus écolos que nous et, aujourd’hui, nous devons réapprendre leurs bons réflexes écoresponsables. Réduire la consommation de viande, adopter une mode durable, faire du DIY, et privilégier les produits locaux sont des choix que nous pouvons faire pour protéger notre planète. Le progrès est important, mais à quel prix ? Peut-on se poser un instant pour réfléchir à l’impact de nos choix ?

L’appât du gain et la quête du progrès ne doivent pas se faire au détriment de l’environnement et de notre bien-être. Rappelons-nous des pratiques de nos grands-mères, tirons-en des leçons et adoptons une consommation plus responsable pour un avenir meilleur.

Mangrose guide de tailles

T-shirt
MAN SIZE XS S M L
WOMAN SIZE S M L XL
POITRINE / CHEST 46 49 52 55
LONGUEUR CORPS/ BODY LENGTH 68 70 72 74
Sweatshirt
MAN SIZE XS S M L
WOMAN SIZE S M L XL
POITRINE / CHEST 53 56 59 62
LONGUEUR CORPS/ BODY LENGTH 68 70 72 74
Sweatshirt à capuche / Hoodie
MAN SIZE XS S M L
WOMAN SIZE S M L XL
POITRINE / CHEST 53 56 59 62
LONGUEUR CORPS/ BODY LENGTH 68 70 72 74
Sweatshirt
Toucher Peau de pêche / Carbon finish
MAN SIZE XS S M L
WOMAN SIZE S M L XL
POITRINE / CHEST 53 56 59 63
LONGUEUR CORPS/ BODY LENGTH 69 71 73 75
Sweatshirt à capuche / Hoodie
Toucher Peau de pêche / Carbon finish
MAN SIZE XS S M L
WOMAN SIZE S M L XL
POITRINE / CHEST 53 56 59 63
LONGUEUR CORPS/ BODY LENGTH 69 71 73 75